Fabuliste

No dependo únicamente de la coyuntura presente, sino también, y sobre todo, de cómo he arribado a esta circunstancia…

Soy histéresico. O histérico. O histórico. O histológico. Sobre todo histerológico. Histamínico. Histriónico. Soy la versión más probable de mí mismo, sí; pero no la verdadera (al menos, no la única), puesto que represento la máxima expresión de entidades o explicaciones sin tener en cuenta la varianza residual ni las campanas de Saint-German-des-Pres. ¿Vous comprenez? Porque yo, no. Y eso es lo lindo del asunto, ¿vio?; andar un poco como bola sin manija, como dreydl de movimiento perpetuo: como problema y no como solución, como una continuidad invariable, inmutable (inverificable): un embole. Por eso el funambulismo fantástico como recurso contra. Por eso

 

FABULISTE, subst. masc.

Écrivain qui compose des fables. L’apologue a dû naître dans l’Inde et (…) le premier fabuliste fut sûrement un brachmane (FLORIAN, Fables, 1792, p. 31). Le mot du fabuliste : « Ils sont trop verts », se réédite à chaque vendange (PESQUIDOUX, Chez nous, 1923, p. 135) :

Au lieu de se traîner sur les traces d’un modèle inimitable, le nouveau fabuliste se fraie une route nouvelle, il arme l’apologue du trait le plus aigu de l’épigramme, et force le vice ou le ridicule à se trahir lui-même par le cri qu’il lui arrache.
JOUY, Hermite, t. 4, 1813, p. 356.

− P. ext.Grandville, le fabuliste du crayon (…) qui n’avait de l’esprit que dans ses croquis, n’était pas non plus des habitués [de Gavarni] (SAINTE-BEUVE, Nouv. lundis, t. 6, 1863, p. 193).

Prononc. et Orth. : [fɑbylist] ou [fa-]. Cf. fable. Ds Ac. 1740-1932. Étymol. et Hist. 1588 gaudisseur, plaisanteur, moqueur ou fabuliste (GUTERRY, Ep. dorees de Guevara d’apr. Delboulle ds DG); 1688 « auteur de fables » (LA FONTAINE, Fables, Préface, éd. A. Régnier, t. 1, p. 19). Formation savante sur le lat. class. fabula (v. fable); suff. -iste*; l’attest. du XVIe s. représente sans doute un empr. à l’esp. fabulista, dér. du doublet sav. esp. de habla, fabula (COR., s.v. hablar). Fréq. abs. littér. : 45. Bbg. WOLF (H.-J.). It. romanista, quattrocentista. Rom. Forsch. 1972, t. 84, p. 320.

ÉVASION, subst. fém.

A.− Action de s’évader, de s’échapper d’un lieu où l’on était tenu enfermé; résultat de cette action. Moyen, plan, tentative d’évasion.Le gamin était sorti de sa broussaille, (…) et, se remettant à ramper, fit une évasion de couleuvre dans les ténèbres (HUGO, Misér., t. 2, 1862, p. 122). Une noisette creuse, percée d’un trou par l’évasion du ver (COLETTE, Cl. école, 1900, p. 276).
− Spécialement
1. DR. FISCAL.Évasion fiscale. Fuite devant le fisc consistant à soustraire à l’application des règles fiscales, par interprétation habile de la loi ou par divers procédés frauduleux, des revenus normalement imposables :
1. … on accuse volontiers les affaires d’envoyer leurs capitaux à l’étranger en vue de nuire aux gouvernements qui ne leur sont pas favorables (…) De tels mouvements sont conditionnés par un réflexe de peur ou un désir d’évasion fiscale beaucoup plus que par une volonté de pression sur les autorités…
MEYNAUD, Les Groupes de pression en France, 1958, p. 159.
2. ÉCON. POL.Évasion des capitaux. ,,Mouvement d’exportation des capitaux dans un but de spéculation délibérée dirigée contre la monnaie nationale et, par conséquent, contre l’économie d’un pays donné« (BOUV.-IBARR. 1975).
B.− Au fig.
1. Action de s’échapper, de fuir une réalité trop pénible, astreignante; résultat de cette action. C’est étonnant comme, presque toujours, la prise de voile indique un martyre caché : c’est comme une évasion de la vie (GONCOURT, Journal, 1858, p. 542). Une journée d’évasion dominicale, vouée à la détente spirituelle et aux soucis de l’âme (Univers écon. et soc., 1960, p. 6408) :
2. … enfants et adultes manifestent un grand désir d’évasion et une insatisfaction profonde vis-à-vis de leur condition dans la société.
Traité de sociol., 1967, p. 323.
− D’évasion, loc. à valeur adj., LITT. et SPECTACLES.Qui permet de fuir le quotidien, de se divertir sans effort. Film, littérature d’évasion.
2. Vieilli.Moyen par lequel on cherche à éluder une difficulté en restant dans l’imprécision. Sa réponse fut donc à peu près négative et pleine d’évasions (BRILLAT-SAV., Physiol. goût, 1825, p. 195).
Prononc. et Orth. : [evazjɔ̃]. [evɑ-] ds PASSY 1914 et à titre de var. ds Pt ROB. et WARN. 1968. Ds Ac. 1718-1932. Étymol. et Hist. 1. 2e moitié du XIIIe s. « action de s’évader » (Introductoire d’astronomie ds GDF. Compl. d’apr. DG); 2. av. 1328 fig. evacion « échappatoire » (Ovide moralisé, l. 5, 3163, éd. C. de Boer, t. 2, p. 255). Empr. au lat. chrét. evasio, -onis « évasion, délivrance », dér. de evadere (évader*). Fréq. abs. littér. : 538. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 578, b) 992; XXe s. : a) 318, b) 1 072. Bbg. ARICKX (I.). Les Orthoépistes sur la sellette. Trav. Ling. Gand. 1972, no 3, p. 128.

 

Lo leo en el baño mientras me dedico a dudar metódicamente. El hecho de no saber ningún otro idioma, además del que aprendí sin darme cuenta, refuerza mi estrategia de ahondar en lo incierto. Qué duda mayor que no reconocer lo que se tiene delante; que no poder otorgarle un significado más que el propio – ya de por sí, una mayúscula incertidumbre. Yo. Primera persona del singular. Suena un poco solipsista, pero no lo es. No lo es porque no lo es. Voy en busca del plural y también de la tercera persona y de alguna persona que sepa francés, que es lo más práctico, a fin de cuentas. Mas, a cada cual su método, y a cada quien sus extravagancias. Y ojo, que ya lo dije antes, que yo soy yo, pero ese yo (el segundo, sobre todo), implica una multiplicidad (contradictio in terminis, ¿no le parece señor Russell?) de entidades que no interfieren las unas con las otras: yo soy muchos, un poco como Pirandello. Y ninguno, acaso.

 

© Marcelo Wio

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